Ognorhynchus icterotis (Massena & Souancé, 1854)
En 2004 on disait ceci...
Le sommet de Kuala Lumpur cherche des solutions avant qu'il ne soit trop tard
La perruche aux oreilles jaunes, le gobe-mouches du paradis, la sarigue de Colombie... La liste des espèces menacées est longue. Les parcs naturels ne couvrent pas leurs territoires. Et elles pourraient vite disparaître, faute de mesures de protection spéciales. Leur survie sera abordée lors de la septième session de la Convention sur la diversité biologique (CDB), qui se tient jusqu'au 20 février à Kuala Lumpur (Malaisie). Un rapport publié l'année dernière recensait 223 oiseaux, 140 mammifères et 346 amphibiens en danger. Il soulignait qu'une augmentation de seulement 2,6% de la surface totale des zones préservées dans le monde permettrait de sauver les deux tiers de ces animaux.
Mais cette extension ne suffirait pas. Il faudrait aussi mettre les parcs «en réseau», quand cela est possible. En effet, de nombreuses aires actuellement protégées sont d'une superficie trop réduite. Certaines espèces qui y vivent sont menacées par des problèmes de consanguinité. Quand leurs populations sont dispersées dans plusieurs parcs, séparés par des routes ou d'autres infrastructures, les sous-groupes ne peuvent pas toujours circuler de l'un à l'autre. Le mélange des gènes est alors impossible. Solution proposée: l'instauration de «corridors». Ces zones naturelles intermédiaires permettraient aux animaux d'une aire protégée de rejoindre leurs congénères de l'aire voisine. Une telle mesure aiderait la CDB à atteindre son objectif: «freiner l'appauvrissement de la diversité biologique d'ici à 2010».
http://www.lexpress....ees_490754.html
Espèce en danger critique. Des projets pour la protection de la végétation, le contrôle de la chasse illégale et la protection active des principales zones où vit cette espèce.
En 2010 on dit ceci
Grand succès! Les populations de cette espèce sont en train d'augmenter. A Tolima, plus de 50 nids étaient actifs en 2007, avec 132 poussins en Mai-Juin. Ce succès est dû au nombre croissant de cavités dans les palmiers à cire morts, grâce à la récupération de l'habitat et à la reforestation. Cette espèce semble à présent explorer de nouvelles zones, ce qui représente une bonne indication pour la conservation de la Conure à joues d'or. (Information de ProAves Fundación).
Description:
généralement de couleur verte; front, lores, les joues et les oreilles haut-caudales jaunes, oreille couvertures de certains oiseaux légèrement allongé, qui peut être caractéristique des sexes possible; bas joues et la gorge verte; poitrine, l'abdomen et sous l'aile-caudales vert jaunâtre ; dessous des ailes sombres jaune; dessous de la queue-plumes rouge-brun terne, anneau periophthalmique noirâtre et plus large sous les yeux; orange iris; pattes grises
Immatures comme un adulte, mais le plumage de la tête jaune beaucoup plus d'olive-jaune.
Longueur:
42 cm (16,5 pouces)
Distribution:
Andes centrales de la Colombie ainsi que le nord de l'Equateur dans les provinces d'Imbabura et Pichincha, également un ancien de l'est et l'ouest des Andes.
Habitat:
forêts de montagne et de ses bords; partiellement dégagé les zones, les zones boisées sur l'arbre en ligne et de la forêt de Podocarpus dans la zone tempérée entre 2.000 m (6.700 pieds) et 3.400 m (11.300 ft); parfois aussi bas que 1.300 m (4.300 pieds); préfère les zones éventuellement avec des palmiers de cire (andiculum Ceroxylon).
Statut:
extrêmement rares et que dans quelques localités isolées les unes des autres; déjà disparu
de la plupart des zones de distribution; en voie de disparition; population totale peut-être moins de 200 oiseaux; cause de la baisse inconnue, mais certainement affectée par la perte d'habitat.
Les habitudes:
surtout observées individuellement, en paires ou en petits troupeaux de jusqu'à 25 oiseaux; anciennement rassemblements plus dans les bosquets; migrations saisonnières; reste probablement de Mars à Octobre en Colombie, puis migre vers l'Equateur, où il est rencontré de Novembre à Février ; dans Imbabura, Equateur, des troupeaux de 15 à 20 individus, ils mangent des baies et des fruits pendant la journée sur les buissons bas en rase campagne, ils apparaissent aux alentours de 8h00 et disparaissent à 16 heures dans la direction de la forêt, plus haut, où ils ont un lieu de repos
alimentation naturelle:
des fruits des palmiers de cire (), baies et graines.
Comportement reproducteur:
période de reproduction probablement de Mars à Juin, les nids dans les colonies; trous nid de 25 m (83 pi) dans les creux d'arbres
Aviculture:
à l'heure actuelle sans doute pas conservé dans l'aviculture, en partie sonore de perroquet très bruyant avec prudence de manière autrement, mais dès confiant; mâcheur dur; branches fraîches et de bois en décomposition devront être fournis; bénéficie de baignade; grande volière commune avec conures de taille similaire et aras possible.
Hébergement:
idéalement volière 15 x 6 x 6 m avec abri joint 6 x 4,5 x 6 m, volière alu de préférence; température minimale d'au moins 5 ° C (41 ° F) un nid en bois de 30 x 30 x 70 cm avec une entrée de 8 cm de diamètre.
Alimentation:
mélange de graines de tournesol, de carthame, chanvre, blé, avoine, l'alpiste des Canaries semences de graminées et de divers millets, de fournir ainsi germé en été, les aliments pour pigeon trempé, des fruits et légumes (pommes, mangue, concombre, maïs à moitié mûres, les carottes, Fruits de l'églantier, baies de sorbier, mouron des oiseaux, etc pissenlit, suppléments minéraux régulièrement, le pain blanc et pâtée d'élevage.
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