le perroquet rouge et vert (Necropsittacus borbonicus) était une espèce de perroquet endémique de l'île de la Réunion et s'est éteint vers 1680.
les perroquets disparu de l'ile de la réunion
Débuté par
cyclones974
, mai 16 2009 11:19
21 réponses à ce sujet
#1
cyclones974
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Posté 16 mai 2009 - 11:19
une espece jadis presente à l'il de la réunion
le perroquet rouge et vert (Necropsittacus borbonicus) était une espèce de perroquet endémique de l'île de la Réunion et s'est éteint vers 1680.
le perroquet rouge et vert (Necropsittacus borbonicus) était une espèce de perroquet endémique de l'île de la Réunion et s'est éteint vers 1680.
#2
jessie
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Posté 16 mai 2009 - 11:44
Bien dommage il était très coloré c'est magnifique
#3
TEXANE
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Posté 16 mai 2009 - 11:52
Dommage, l est magnifique
texane, cachou et Popeye les gris et Oby le cactoes
#4
cyclones974
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Posté 16 mai 2009 - 14:55
evidement sa ne reste qu'un dessins vu la date de sa disparition mais sa donne une idée
#5
cyclones974
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Posté 16 mai 2009 - 15:09
Coracopsis nigra nigra
il a pus etre observer à la réunion le perroquet noir de madagascar ou des comores
il a pus etre observer à la réunion le perroquet noir de madagascar ou des comores
#6
Ghislaine
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Posté 16 mai 2009 - 15:18
le perroquet rouge et vert appelé aussi Perroquets à tête couleur de feu
ceux là aussi ne sont plus...
Perroquets gris
Perroquets couleur de petit gris
Perroquets verts à collier noir
ceux là aussi ne sont plus...
Perroquets gris
Perroquets couleur de petit gris
Perroquets verts à collier noir
#7
cyclones974
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- LocalisationIle de la Réunion
Posté 17 mai 2009 - 05:52
le perroquet mascarin de 40 cm de long
lui aussi vivais à la réunion et dans d'autre iles de l'ocean indien
lui aussi vivais à la réunion et dans d'autre iles de l'ocean indien
#8
Ghislaine
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Posté 17 mai 2009 - 06:54
C'est bien comme post, nous allons compléter avec leur mode de vie, leur nourriture, la façon dont ils ont disparu, les effets liés à sa disparition etc...
#9
*Fleur*
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Posté 17 mai 2009 - 19:24
ils étaient beaux ces perroquets quel dommage qu'ils soient disparus...
#11
Ghislaine
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Posté 18 mai 2009 - 13:15
Le mascarin Mascarinus mascarinus
Doté d'un imposant bec rouge et d'une tête couleur lilas, le mascarin de la Réunion était long de 35 cm. Son plumage était marron, à l'exclusion d'une bande blanche à la base de la queue.
Décrit par les premiers visiteurs de l'île, l'oiseau disparait dès la fin du XVIIIe siècle. Le dernier mascarin de la Réunion sauvage aurait ainsi été aperçu dans les années 1770. Aussi, l'oiseau n'est pas mentionné dans les écrits de Jean-Baptiste Bory de Saint-Vincent, qui datent de 1804.
Les spécimens vivants expédiés en Europe au cours du XVIIIe siècle n'y survécurent pas longtemps sauf un, qui serait mort dans la ménagerie du roi de Bavière en 1834, mais dont l'existence est actuellement mise en doute. Aujourd'hui, il ne reste donc de l'oiseau qu'une poignée de spécimens empaillés, notamment à Vienne.
Le mascarin de Maurice (Lophopsittacus mauritianus) est un psittacidé aujourd'hui disparu autrefois endémique à l'île Maurice.
Son existence est avérée par de nombreux os et des récits de voyageurs. Il était grand et son vol peu assuré. Il fut donc beaucoup chassé et c'est là la cause la plus probable de sa disparition. Hoffman signale en 1680 que les dernières observations de l'oiseau datent de 1673 à 1675.
Porteur d'un large bec, il est parfois appelé perroquet mauricien.
http://fr.wikipedia.org
Doté d'un imposant bec rouge et d'une tête couleur lilas, le mascarin de la Réunion était long de 35 cm. Son plumage était marron, à l'exclusion d'une bande blanche à la base de la queue.
Décrit par les premiers visiteurs de l'île, l'oiseau disparait dès la fin du XVIIIe siècle. Le dernier mascarin de la Réunion sauvage aurait ainsi été aperçu dans les années 1770. Aussi, l'oiseau n'est pas mentionné dans les écrits de Jean-Baptiste Bory de Saint-Vincent, qui datent de 1804.
Les spécimens vivants expédiés en Europe au cours du XVIIIe siècle n'y survécurent pas longtemps sauf un, qui serait mort dans la ménagerie du roi de Bavière en 1834, mais dont l'existence est actuellement mise en doute. Aujourd'hui, il ne reste donc de l'oiseau qu'une poignée de spécimens empaillés, notamment à Vienne.
Le mascarin de Maurice (Lophopsittacus mauritianus) est un psittacidé aujourd'hui disparu autrefois endémique à l'île Maurice.
Son existence est avérée par de nombreux os et des récits de voyageurs. Il était grand et son vol peu assuré. Il fut donc beaucoup chassé et c'est là la cause la plus probable de sa disparition. Hoffman signale en 1680 que les dernières observations de l'oiseau datent de 1673 à 1675.
Porteur d'un large bec, il est parfois appelé perroquet mauricien.
http://fr.wikipedia.org
#12
Ghislaine
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Posté 18 mai 2009 - 13:22
Le Perroquet rouge et vert (Necropsittacus borbonicus
S'il a jamais existé, le perroquet rouge et vert (Necropsittacus borbonicus) était une espèce de perroquet endémique de l'île de la Réunion et s'est éteint vers 1680.
On ne détient que peu d'informations à son sujet, si ce n'est la description faite par Dubois de « perroquets à tête couleur de feu » vivant sur l'île.
Aussi, il pourrait s'agir d'un autre taxon dont l'existence est bien plus certaine que l'on trouvait à l'île Maurice et l'île Rodrigues autrefois, Necropsittacus rodericanus. Or, un troisième taxon du genre Necropsittacus est lui-même fortement soupçonné de n'être que le perroquet rouge et vert, n'ayant été observé qu'à la Réunion. Il s'agit de Necropsittacus francicus.
http://fr.wikipedia.org
#13
Ghislaine
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Posté 18 mai 2009 - 13:31
Coracopsis nigra nigra
Trois sous-espèces sont reconnues :
* Coracopsis nigra nigra (Shaw, 1812) de l'est de Madagascar ;
* Coracopsis nigra sibilans Milne-Edwards & Oustalet, 1885 des Comores ;
* Coracopsis nigra libs Bangs, 1927 de l'ouest et du sud de Madagascar
Ce perroquet peuple Madagascar et les Comores. Il a peut-être été introduit aux Seychelles (sous-espèce C. n. sibilans) à partir desquelles il a conquis naturellement l'île Curieuse. Il a été également introduit à Maurice (sous-espèce C. n. nigra).
Il mesure 35 à 40 cm pour une masse de 315 g (C. n. nigra) ou de 132 à 153 g (C. n. sibilans aux Seychelles). Son plumage est brun sombre avec les sous-caudales grisâtres.
Le Perroquet noir peuple les forêts humides denses, y compris les mangroves, mais également les savanes, les forêts secondaires sèches.
Il consomme des fruits, des baies, des fleurs et des graines. Il est plus frugivore que son proche parent, le Perroquet vasa
Cet oiseau est sédentaire mais des mouvements diurnes, liés à la recherche de nourriture, existent.
http://fr.wikipedia.org
Trois sous-espèces sont reconnues :
* Coracopsis nigra nigra (Shaw, 1812) de l'est de Madagascar ;
* Coracopsis nigra sibilans Milne-Edwards & Oustalet, 1885 des Comores ;
* Coracopsis nigra libs Bangs, 1927 de l'ouest et du sud de Madagascar
Ce perroquet peuple Madagascar et les Comores. Il a peut-être été introduit aux Seychelles (sous-espèce C. n. sibilans) à partir desquelles il a conquis naturellement l'île Curieuse. Il a été également introduit à Maurice (sous-espèce C. n. nigra).
Il mesure 35 à 40 cm pour une masse de 315 g (C. n. nigra) ou de 132 à 153 g (C. n. sibilans aux Seychelles). Son plumage est brun sombre avec les sous-caudales grisâtres.
Le Perroquet noir peuple les forêts humides denses, y compris les mangroves, mais également les savanes, les forêts secondaires sèches.
Il consomme des fruits, des baies, des fleurs et des graines. Il est plus frugivore que son proche parent, le Perroquet vasa
Cet oiseau est sédentaire mais des mouvements diurnes, liés à la recherche de nourriture, existent.
http://fr.wikipedia.org
#14
Ghislaine
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Posté 18 mai 2009 - 14:02
La perruche verte de La Réunion
La perruche verte de La Réunion (Psittacula eques) est une espèce d'oiseau endémique de La Réunion de la famille des Psittacidae disparue vers 1740. Cet oiseau mesurait environ 43 cm, avait le plumage entièrement vert hormis un collier noir. Il ne reste de cet espèce qu'un spécimen en peau au Muséum d'Édimburg.
La Perruche de Maurice fût considérée comme une sous-espèce (Psittacula eques echo).
http://fr.wikipedia.org
il y a aussi ...
Le Dodo Raphus cucullatus
On ne peut évoquer la faune sans mentionner le dodo, un oiseau de la taille d'un gros dindon, représenté sur les armoiries de l'île. On peut l'observer également sur les tee-shirts et dans les vitrines de peluches car il a été exterminé par les colons hollandais, affamés à la fin du XVIIe siècle. Depuis, le dodo est devenu le symbole des espèces disparues à Maurice, ainsi que l'une des figures animales emblématiques de l'île.
Le nom de « dronte » viendrait d'un mot indigène de l'île Maurice, alors que le nom de « dodo » serait originaire du néerlandais dodars ou dodoors, qui signifie « paresseux » et qui est également à l'origine de l'expression enfantine « faire dodo ». L'étymologie la plus couramment admise est que le mot vient du portugais « doido » qui signifie fou, simplet, idiot ou stupide.
Le dodo ressemblait à une grosse dinde de quelque 70 cm de haut, d'une douzaine de kilogrammes, au plumage sombre et moiré. Il avait des ailes courtes et grêles, des pattes noires, fortes et pourvues de quatre doigts jaunes. Sa queue était formée de quelques plumes duveteuses assez courtes. Sa tête, en partie nue, était coiffée d'un capuchon noir et le puissant bec, jaunâtre, était allongé et recourbé. Cuvier le classa parmi les gallinacés, cependant, des tests ADN modernes l'apparentent désormais au pigeon. Le cri du dodo est donné par l'onomatopée « blèctre »
Le dodo était un oiseau endémique de l'Île Maurice, vivant dans les forêts ou les plaines.
Il a été découvert en 1598 par les marins des expéditions hollandaises à la recherche d'épices orientales, placées sous les ordres de l'amiral Jacob Cornelius van Neck.
L'île Maurice n'ayant que 10 millions d'années, le dodo n'y avait aucun prédateur avant l'arrivée des Européens. Issu des pigeons africains, l'espèce avait évolué en oiseau coureur aux ailes atrophiées. Le dodo grattait le sol des forêts à la recherche de baies, feuilles, fruits et graines. Il participait à la germination des graines de tambalacoque. À cause de sa lourdeur, ce gros oiseau, marchant mal et incapable de voler, fut le gibier le plus facile à chasser et fut vite anéanti. Les Hollandais en tuèrent la majorité pour consommer leur chair ; ainsi, ils en chargèrent leurs navires afin de disposer d'une bonne réserve de nourriture. Ils le surnommèrent walgvogel (« oiseau dégoûtant ») car sa viande n'était plus comestible deux jours après la cuisson. Les animaux domestiques introduits — chats, chèvres, chiens et porcs, qui redevinrent sauvages — et les rats — qui mangèrent les œufs — ont participé à l'extinction de l'espèce vers 1680.
Le dodo est aussi l'emblème national de la République de Maurice.
http://fr.wikipedia.org
La perruche verte de La Réunion (Psittacula eques) est une espèce d'oiseau endémique de La Réunion de la famille des Psittacidae disparue vers 1740. Cet oiseau mesurait environ 43 cm, avait le plumage entièrement vert hormis un collier noir. Il ne reste de cet espèce qu'un spécimen en peau au Muséum d'Édimburg.
La Perruche de Maurice fût considérée comme une sous-espèce (Psittacula eques echo).
http://fr.wikipedia.org
il y a aussi ...
Le Dodo Raphus cucullatus
On ne peut évoquer la faune sans mentionner le dodo, un oiseau de la taille d'un gros dindon, représenté sur les armoiries de l'île. On peut l'observer également sur les tee-shirts et dans les vitrines de peluches car il a été exterminé par les colons hollandais, affamés à la fin du XVIIe siècle. Depuis, le dodo est devenu le symbole des espèces disparues à Maurice, ainsi que l'une des figures animales emblématiques de l'île.
Le nom de « dronte » viendrait d'un mot indigène de l'île Maurice, alors que le nom de « dodo » serait originaire du néerlandais dodars ou dodoors, qui signifie « paresseux » et qui est également à l'origine de l'expression enfantine « faire dodo ». L'étymologie la plus couramment admise est que le mot vient du portugais « doido » qui signifie fou, simplet, idiot ou stupide.
Le dodo ressemblait à une grosse dinde de quelque 70 cm de haut, d'une douzaine de kilogrammes, au plumage sombre et moiré. Il avait des ailes courtes et grêles, des pattes noires, fortes et pourvues de quatre doigts jaunes. Sa queue était formée de quelques plumes duveteuses assez courtes. Sa tête, en partie nue, était coiffée d'un capuchon noir et le puissant bec, jaunâtre, était allongé et recourbé. Cuvier le classa parmi les gallinacés, cependant, des tests ADN modernes l'apparentent désormais au pigeon. Le cri du dodo est donné par l'onomatopée « blèctre »
Le dodo était un oiseau endémique de l'Île Maurice, vivant dans les forêts ou les plaines.
Il a été découvert en 1598 par les marins des expéditions hollandaises à la recherche d'épices orientales, placées sous les ordres de l'amiral Jacob Cornelius van Neck.
L'île Maurice n'ayant que 10 millions d'années, le dodo n'y avait aucun prédateur avant l'arrivée des Européens. Issu des pigeons africains, l'espèce avait évolué en oiseau coureur aux ailes atrophiées. Le dodo grattait le sol des forêts à la recherche de baies, feuilles, fruits et graines. Il participait à la germination des graines de tambalacoque. À cause de sa lourdeur, ce gros oiseau, marchant mal et incapable de voler, fut le gibier le plus facile à chasser et fut vite anéanti. Les Hollandais en tuèrent la majorité pour consommer leur chair ; ainsi, ils en chargèrent leurs navires afin de disposer d'une bonne réserve de nourriture. Ils le surnommèrent walgvogel (« oiseau dégoûtant ») car sa viande n'était plus comestible deux jours après la cuisson. Les animaux domestiques introduits — chats, chèvres, chiens et porcs, qui redevinrent sauvages — et les rats — qui mangèrent les œufs — ont participé à l'extinction de l'espèce vers 1680.
Le dodo est aussi l'emblème national de la République de Maurice.
http://fr.wikipedia.org
#15
TEXANE
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Posté 18 mai 2009 - 15:14
La perruche verte est également magnifique
texane, cachou et Popeye les gris et Oby le cactoes
#16
cyclones974
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- LocalisationIle de la Réunion
Posté 19 mai 2009 - 10:27
pour le dodo c'est l'embleme de beaucoup de chose a la reunion et a maurice entre autre la bierre de la réunion
http://images.google...=N&hl=fr&tab=wi
http://images.google...=N&hl=fr&tab=wi
#17
Ghislaine
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Posté 19 mai 2009 - 14:36
ha je vois ! il est toujours présent chez vous.
#18
Snoopy01
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- LocalisationAlsace (haut-rhin)
Posté 20 mai 2009 - 18:50
C'est vraiment dommage qu'ils aient tous disparus, ils étaient si beaux... 
Is everybody going crazy?
#19
*Fleur*
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- LocalisationPoitiers
Posté 21 mai 2009 - 14:19
elle ressemble beaucoup a la peruche a collier cette perruche verte normal c'était une psittacula aussi...
#20
Ghislaine
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- Administrateurs
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Posté 13 juin 2010 - 20:15
reprenons la liste des psittacidés éteints à ce jour
La Perruche de Newton (Psittacula exsul) Perruche noblesse
était une petite espèce de Psittacidae aujourd'hui disparue endémique des forêts de l'île Rodrigues. Une dépendance de Maurice, dans l'océan Indien.
r
Elle a été observée pour la première fois par François Leguat, qui était à la tête d'un groupe de huit Huguenots qui ont colonisé l'île de 1691 à 1693.
Selon ses descriptions, cet oiseau se trouvait alors en grand nombre.
La mention suivante faire à la perruche est le fait du mathématicien Alexandre Guy Pingré, qui a voyagé à Rodrigues en 1761 pour observer le transit de Vénus.
Cet oiseau parlait et a été emmené par les marins. Certains disent qu'il était bon à mange
Il note que l'oiseau est devenu rare.
Un spécimen a été envoyé par Sir Edward Newton (administrateur colonial de Maurice) à son frère Alfred, qui a officiellement enregistré l'oiseau en 1872.
Le dernier individu vivant a été observé en 1875.
Deux spécimens complets et des os fossilisés ont été conservés.
L'extinction de l'espèce a probablement été causée par la conjugaison de chasse et de destruction de son habitat.
Il était environ 40 cm (16 po) de long et le plus souvent une couleur gris ardoise, ce qui est inhabituel pour un Psittacula, généralement un genre de la plupart vert des perroquets .
Seuls deux spécimens complets et divers ossements fossiles survivre.
Son aspect général est semblable à la Psittacula espèce existante, et il avait le collier noir caractéristique de son genre, mais elle diffère par son ardoise bleue, pas verte, le plumage.
Les échantillons montrent qu'il avait un iris jaune, un gris plus sombre bleu sur sa surface supérieure de la face inférieure, et le mâle a une ligne sombre à ses yeux, qui a été moins important chez la femme.
La femelle a une tête grise, et les femelles col noir n'était pas si évidente que, le mâle et ne s'étend pas à l'arrière du cou.
les premiers voyageurs ayant signalé des perroquets une tache rouge sur les épaules de leurs ailes, une caractéristique qui ne voit pas sur l'un des survivants deux spécimens complets, conduisant à la spéculation le spécimen mâle en plumage juvénile.
Les premiers rapports indiquent que les oiseaux verts existait aussi de savoir s'il existe deux formes de couleur ou de la coloration verte a été pris en charge par les oiseaux récemment à part entière, ou si à un moment une colonie de courte durée d'une espèce apparentée vert existait à Rodrigues ne peut plus être déterminée.
La Perruche de Newton (Psittacula exsul) Perruche noblesse
était une petite espèce de Psittacidae aujourd'hui disparue endémique des forêts de l'île Rodrigues. Une dépendance de Maurice, dans l'océan Indien.
r
Elle a été observée pour la première fois par François Leguat, qui était à la tête d'un groupe de huit Huguenots qui ont colonisé l'île de 1691 à 1693.
Selon ses descriptions, cet oiseau se trouvait alors en grand nombre.
La mention suivante faire à la perruche est le fait du mathématicien Alexandre Guy Pingré, qui a voyagé à Rodrigues en 1761 pour observer le transit de Vénus.
Cet oiseau parlait et a été emmené par les marins. Certains disent qu'il était bon à mange
Il note que l'oiseau est devenu rare.
Un spécimen a été envoyé par Sir Edward Newton (administrateur colonial de Maurice) à son frère Alfred, qui a officiellement enregistré l'oiseau en 1872.
Le dernier individu vivant a été observé en 1875.
Deux spécimens complets et des os fossilisés ont été conservés.
L'extinction de l'espèce a probablement été causée par la conjugaison de chasse et de destruction de son habitat.
Il était environ 40 cm (16 po) de long et le plus souvent une couleur gris ardoise, ce qui est inhabituel pour un Psittacula, généralement un genre de la plupart vert des perroquets .
Seuls deux spécimens complets et divers ossements fossiles survivre.
Son aspect général est semblable à la Psittacula espèce existante, et il avait le collier noir caractéristique de son genre, mais elle diffère par son ardoise bleue, pas verte, le plumage.
Les échantillons montrent qu'il avait un iris jaune, un gris plus sombre bleu sur sa surface supérieure de la face inférieure, et le mâle a une ligne sombre à ses yeux, qui a été moins important chez la femme.
La femelle a une tête grise, et les femelles col noir n'était pas si évidente que, le mâle et ne s'étend pas à l'arrière du cou.
les premiers voyageurs ayant signalé des perroquets une tache rouge sur les épaules de leurs ailes, une caractéristique qui ne voit pas sur l'un des survivants deux spécimens complets, conduisant à la spéculation le spécimen mâle en plumage juvénile.
Les premiers rapports indiquent que les oiseaux verts existait aussi de savoir s'il existe deux formes de couleur ou de la coloration verte a été pris en charge par les oiseaux récemment à part entière, ou si à un moment une colonie de courte durée d'une espèce apparentée vert existait à Rodrigues ne peut plus être déterminée.
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