Kakariki, ou cyanoramphus
#21
Posté 27 décembre 2011 - 15:42
Je dois avouer que c petites perruches m attirée avant l essai d un perroquet mais j ai peur que ca piaille autant q une petite perruche et ca enerverai mon homme :biggrin:
Ja sais aussi que ce sont des oiseaux qui s apprivoise trés bien .
J adore
#22
Posté 27 décembre 2011 - 16:39
#23
Posté 27 décembre 2011 - 17:17
je voulais savoir si ca s apprivoisé de la mm facon qu un perroquet et savoir si peut imiter des chant connu ?
#24
Posté 27 décembre 2011 - 17:25
EAM les kakariki sont très bien, même pour des enfants ... mais ça restera énormément indépendant, et l’interaction restera limitée.
#25
Posté 27 décembre 2011 - 19:07
#26
Posté 27 décembre 2011 - 20:17
#27
Posté 27 décembre 2011 - 21:10
Tu pourras t'en rendre compte lors de ta petite visite
#28
Posté 28 décembre 2011 - 09:12
#29
Posté 29 février 2012 - 14:33
#30
Posté 29 février 2012 - 17:39
#31
Posté 29 février 2012 - 18:08
#32
Posté 29 février 2012 - 18:46
#33
Posté 02 mars 2012 - 01:07
J'ai trouvé la patée aux insectes , cage, jouets, mais j'ai d'autres trous dans ma liste de courses :
- quels extrudés pour lui ?
- faut-il un bloc d'argile ou mineral dans la cage ?
- quels mélange de graines est le mieux ?
Un p'tit coup de main svp?
#34
Posté 02 mars 2012 - 09:11
Tu as déjà pas mal d'indications ici
http://www.gros-becs...pic,1909.0.html
Si tu as d'autres questions, surtout n'hésites pas.
#35
Posté 27 juin 2015 - 15:46
Cyanoramphus (Bonaparte)
Famille : psittacidae
Sous famille : psittacinae
Il mesure en moyenne 27cm avec une queue de 12 à 16cm et pèse entre 65g et 110g
Sa durée de vie est d'environ 7 ans
Toutes les espèces de kakarikis sont originaire de Nouvelle Zélande et des îles ou archipels voisins.
Ce genre regroupe plusieurs perroquets appelés kakarikis, au corps rond et à la queue longue et fine.
Ils se distinguent par leur plumage de base entièrement vert, excepté le masque facial.
Toutes les espèces ont un bec gris foncé, des pattes grises zygodactyles, qui caractérisent les oiseaux grimpeurs, un iris orange et ne présente aucun dimorphisme sexuel prononcé.
Ces perroquets sont menacés d’extinction à l’état sauvage (certaines espèces sont déjà éteintes).
Mais l’un d’eux, le kakariki à front rouge est très courant en captivité où certaines mutations ont été fixées : panaché et lutino.
D'où vient le nom de KAKARIKI ?
Il vient de la langue Maori et veut dire "petit perroquet"
Le kakariki a front jaune vit dans les arbres il affectionne particulièrement les zones boisés à partir d'une certaine altitude.
Le kakariki à front rouge préfère les bordures de forêt, les prairies, les buissons, les vergers, il s'aventure même sur le bord de mer, il descend plus volontiers au sol pour se nourrir.
Le kakariki des antipodes vit sur les îles et lui aussi vit au sol.
Cyanoramphus novaezelandiae
Kakariki à front rougeLe plumage est essentiellement vert, le front rouge et une marque rouge se trouve derrière l’œil, vers la zone auriculaire. Les rémiges sont bleues.
La femelle est légèrement plus petite que le mâle et son bec moins massif.
En captivité, le kakariki est sensible a un régime mal adapté, il pourra faire plusieurs mues, s'il ne trouve pas en quantité suffisante :
- de la verdure,
- du pissenlit,
- du cresson,
- des insectes
- quelques larves,
- des baies
- des fruits.
A l'état sauvage, il se nourrit aussi de fleurs et de nectar
Il faudra veiller aussi à lui placer dans la volière suffisamment d'eau car il a un besoin de se baigner.
Le kakariki a besoin d'un mètre cube au minimum par couple pour s'ébattre.
Huit sous-espèces sont répertoriées.
- Cyanoramphus novaezelandiae novaezelandiae espèce de référence décrite ci-dessus
présente en Nouvelle Zélande sur les îles Stewart et Auckland
- Cyanoramphus novaezelandiae cyanurus présente sur les îles Kermadec
le dessus de la tête et de la queue sont plus bleue, le dessous du ventre moins jaunâtre.
Son statut à l'état sauvage est critique
- Cyanoramphus novaezelandiae hochstetteri présente sur les îles des Antipodes
appelé aussi Perruche de Reischek par les Néo-Zélandais
Plus grand que l'espèce nominale, il a un plumage plus jaunâtre avec des taches frontales et sur le bas du dos d'un rouge moins soutenu tirant sur l'orangé.
- Cyanoramphus novaezelandiae erythrotis aujourd’hui éteinte
- Cyanoramphus novaezelandiae cooki selon certains auteurs à classer comme une espèce confinée sur l’île de Norfolk
- Cyanoramphus novaezelandiae subflavescens aujourd’hui éteinte
Il s'agissait d'une grande espèce (32cm) avec moins de rouge sur la tête et plus jaunâtre
- kakariki de Macquarie, éteinte
cette espèce pouvait mesurer 30 cm et était plus clair que l'espèce nominale
- Cyanoramphus novaezelandiae saisetti pour certains à classer comme espèce présente en Nouvelle Calédonie
Il est arboricole et vit dans les forêts ou dans les landes désolées dépourvue d’arbres où il a acquis (en l’absence de prédateur) des comportements terricoles.
Il mange des graines de l’herbe, des fruits et des baies.
La saison des amours varie en fonction du climat.
Cyanoramphus unicor (Lear)
Kakariki des Antipodes
Semblable à l’espèce précédente, mais dépourvu de marque de couleur, ce kakariki mesure environ 30cm de long et est endémique aux petites îles de l’archipel des Antipodes, au large de la côte de la Nouvelle Zélande.
Dans un environnement plutôt hostile qu’il partage avec le kakariki à front rouge, sans que ces espèces entrent en compétition.
Son régime dépend à 65% de la Poa litorosa, dont il dévore les feuilles, alors que le kakariki à front rouge préfère les petites graines des prés (60 % de son régime).
Il nidifie dans des tanières creusées dans la terre.
Cette espèce est vulnérable, un recensement datant de 1981 évaluait sa population entre 2000-3000 individus.
Elle pourrait disparaître en raison de l’introduction, voulue ou bien accidentelle d’animaux nuisibles, car son aire de répartition est en train de devenir une destination de pêche. Elle est rare en captivité.
Cyanoramphus auriceps (Kuhl)
Kakariki à front jaune
Il mesure 23cm de long et présente un plumage essentiellement vert nuancé de jaune sur les parties inférieures.
Son front est rouge sa couronne est jaune, son bec et ses pattes grises, son iris orange. Les jeunes ont une queue courte et un iris brun.
Deux sous-espèces sont répertoriées :
- Cyanoramphus auriceps auriceps, présente en Nouvelle Zélande et sur l’île d’Auckland,
- Cyanoramphus auriceps forbesi présente dans l’archipel de Chatham
Son statut est très menacé, un programme de sauvegarde a été mis en place
Son habitat est constitué d’épaisses forêts montagneuses, où il vit en couple ou en petits groupes.
Il est le plus arboricole des kakarikis et son alimentation ne dépend pas des herbes des prés. Son régime se compose de graines, de fruits, de baies.
Il nidifie normalement entre septembre et janvier dans le creux d’un arbre. La femelle pond jusqu’à 9 œufs qu’elle couve pendant 18/20 jours, les petits prennent leur envol environ 5 semaines après l’éclosion des œufs.
Il vit sur différentes île de la Nouvelle Zélande où, après une période de grand déclin il semble se reprendre.
Cyanoramphus malerbi (Souancé)
Kakariki de Malherbe
En tout point semblable au kakariki à front jaune et proche du kakariki à front rouge, cette espèce se distingue seulement par son front de couleur orange.
Elle mesure environ 20cm de long.
Attention il ne s'agit pas d'hybridation entre le front rouge et le front jaune, ce qu'il ne faut surtout pas faire.
Elle vit sur les iles de la Nouvelle Zélande.
Certains auteurs souhaiteraient la classer comme sous-espèce de Cyanoramphus novaezelandiae, avec lequel elle présente des similitudes du point de vue des habitudes et du comportement.
Deux espèces désormais éteintes et qui ressemblaient au kakariki à front jaune
- Cyanoramphus zaelandicus (Latham) ou kakariki à front noir qui vivait à Tahiti et sur les îles de la Société
- Cyanoramphus ulietanus (Gmelin) ou kakariki des Sociétés qui vivait sur les îles du même nom.
certaines espèces de kakarikis sont soumis a une autorisation de détention.
Pour les fronts rouges ils n'ont aucune plume jaune, totalement vert avec des reflets bleus.
En général, depuis l'interdiction d'exportation tous les kakarikis sont des sujets nés en captivité et ne nécessitent aucune autorisation, mais pour être certain, exigez le port d'une bague fermée.
Ceci vous garantira que l'oiseau est né en captivité.
L'alimentation du kakariki
Non seulement on lui donnera de la pâtée aux insectes pour les protéines.
On peut aussi leur donner des vers de farine et des œufs de fourmis une à deux fois par semaine surtout lors de la période de reproduction
Mais aussi des fruits secs lorsque les produits frais manquent.
Le kakariki n'est un granivore en totalité vu que dans la nature il mange du nectar, des insectes et des fleurs.
Nous allons prendre, en plus de l'alimentation un peu molle, les graines grandes perruches que nous trouvons facilement dans les boutiques spécialisées.
Cependant, on ne perdra pas de vue qu'un oiseau n'est pas un autre, et qu'une conure a des besoins différents du kakariki.
On va compléter nous même le mélange de graine, mais attention, pas n'importe comment.
Si l'alimentation n'est pas suffisamment équilibrée, l'oiseau sera en carence.
Le vol consomme beaucoup d'énergie, mais attention aux graines grasses qui vont alourdir l'oiseau.
L'oiseau avale la graine qui stationne dans le jabot, où elle est ramollie, puis passe dans le ventricule, l'estomac chimique de l'oiseau.
Ce ventricule va permettre grâce a ses sucs gastriques d'attaquer la graine avant de poursuivre son chemin vers le gésier.
Ce dernier va broyer les aliments durs, et pour ce faire, il est nécessaire d'avoir à la disposition de l'oiseau des petits graviers à disposition que l'oiseau va ingérer et permettre ainsi un meilleur broyage.
On note que le gésier d'un granivore est plus musclé que le gésier des espèces frugivores, ou nectarivores.
On va donc privilégier pour le kakariki une nourriture plus molle. Une nourriture composée exclusivement de graines va provoquer des troubles digestifs à plus ou moins long terme.
Mais revenons à notre graine, nous en étions au gésier, à la sortie de celui-ci, la graine partiellement broyée et digérée va passer dans l'intestin, auquel est dévolue l'assimilation des nutriments.
On comprendra combien il est important que cet organe doit être maintenu au meilleur de sa forme.
Et on sait que pour maintenir l'intestin, il est nécessaire d'avoir une flore microbienne qui peut être réduite lors d'un traitement antibiotique ou une diarrhée, c'est pour cette raison qu'il ne faut pas hésiter à la rétablir rapidement.
On peut donner du probi-zyme de chez Orlux, pour remettre cette flore.
Maintenant examinons le contenu de notre sac de graines.
En général il y a 4 principaux éléments :
- Alpiste : 30 à 45 %
- Millets blanc, jaune, roux : 40 à 50 %
- Tournesol : 0 et 20 %
- Gruau d'avoine : 5 à 15 %
Il est bien évident que cette nourriture ne sera pas adaptée au kakariki qui est dans un endroit chauffé et dans une cage, il faudra donc adapté le régime aux conditions de vie de l'oiseau.
On pourra aussi ajouter à ce mélange de graines, en faibles proportions, du niger, des graines de lin, du chènevis, de la navette et du riz paddy.
En ce qui concerne les extrudés, si l'oiseau est habitué, et si vous ne savez pas faire vos mélanges ou adapter le régime de votre oiseau, opter pour cette solution est préférable.
Les graines germées
Un bon apport en protéines, enzymes et vitamine E. Pas la peine que les germes soient grands, juste 2mm suffisent, sinon les graines perdent leurs qualités.
Ne pas laisser plus de deux à quatre heures pour éviter les moisissures, et rincer bien les graines germées avant de les donner aux oiseaux.
On peut aussi ne donner que les graines trempées pendant 24 heures, bien rincer également les graines avant de les donner.
Vous pouvez les donner tous les jours pendant la période de reproduction.
Fruits et Légumes tous les jours
De préférence le matin lorsque l'oiseau a faim
- La salade surtout les jeunes pousses du jardin, elle sera lavée et séchée avant de la donner
- le pissenlit tout est bon dans cette plante, les apports en vitamines et minéraux sont encore plus riches lorsqu'il s'agit de jeunes plantes.
Attention toutefois de ne pas les ramasser n'importe où. Surtout pas dans la rue ou en lisière de forêt.
- Endive (quelques feuilles)
- Carotte que l'on donnera râpée ou coupée en morceaux
- Pomme qui sera donné en morceaux épluché
- Figue
- Cerise sans noyau
- Quelques feuilles de chou
- Pois
- Céleri
- Piments doux
- Maïs doux
- Concombre (quelques morceaux)
- Citrouille (quelques morceaux)
- Poire
- Raisin (peu)
- Abricot
- Banane
- Baies (mûre, sorbier, myrtille, framboise etc...)
- Pyracanthe
- Plantain
- Orties
- Séneçon
Pour leur plus grand plaisir, vous pouvez faire pousser des graines de votre sac dans une petite soucoupe trouée, pas trop haute, et leur donner.
- les branches avec des bourgeons
Et comme les kakarikis ne sont pas réputés pour leur propreté en mangeant, n'oublier pas de leur fournir une baignoire dans laquelle ils pourront se laver après le repas.
C'est surtout valable lorsque vous donnez des fruits.
Les compléments minéraux et vitaminés
Le fond de cage sera composé de gravier marin, et l'on disposera dans
- Un auget ou une petite soucoupe, du gravier et de l'argile.
Le kakariki a besoin de calcium, magnésium et potassium, sans oublier les phosphates
- Un os de seiche à disposition
- Un bloc minéral
- Un bloc d'iode
Les pâtées
On pourra alterner les pâtées,
- Pâtée aux insectes
- Pâtée pour frugivores (pour mainate)
- Pâtée gold ou guiko (surtout en période de reproduction)
Les petits plus
Bien évidemment sans abuser (en petite quantité)
- Des grappes de millets
- Les herbes séchées
- Les fruits secs
- Les graines sauvages
- Les biscuits
- Les oeufs dur
- La spiruline
- Le nectar (attention car le kakariki a tendance à "trop" aimer cela et délaisse les autres aliments)
#36
Posté 27 juin 2015 - 15:46
Franchement ! chapeau !
#37
Posté 27 juin 2015 - 17:12
Merci !
#38
Posté 28 juin 2015 - 10:33
Trop bien ! j'ai fait ma liste de courses
où trouve t'on les os de seiche, bloc minéral et bloc d'iode ?
Cyanoramphus (Bonaparte)
Famille : psittacidae
Sous famille : psittacinae
Il mesure en moyenne 27cm avec une queue de 12 à 16cm et pèse entre 65g et 110g
Sa durée de vie est d'environ 7 ans
Toutes les espèces de kakarikis sont originaire de Nouvelle Zélande et des îles ou archipels voisins.
Ce genre regroupe plusieurs perroquets appelés kakarikis, au corps rond et à la queue longue et fine.
Ils se distinguent par leur plumage de base entièrement vert, excepté le masque facial.
Toutes les espèces ont un bec gris foncé, des pattes grises zygodactyles, qui caractérisent les oiseaux grimpeurs, un iris orange et ne présente aucun dimorphisme sexuel prononcé.
Ces perroquets sont menacés d’extinction à l’état sauvage (certaines espèces sont déjà éteintes).
Mais l’un d’eux, le kakariki à front rouge est très courant en captivité où certaines mutations ont été fixées : panaché et lutino.
D'où vient le nom de KAKARIKI ?
Il vient de la langue Maori et veut dire "petit perroquet"
Le kakariki a front jaune vit dans les arbres il affectionne particulièrement les zones boisés à partir d'une certaine altitude.
Le kakariki à front rouge préfère les bordures de forêt, les prairies, les buissons, les vergers, il s'aventure même sur le bord de mer, il descend plus volontiers au sol pour se nourrir.
Le kakariki des antipodes vit sur les îles et lui aussi vit au sol.
Cyanoramphus novaezelandiae
Kakariki à front rougeLe plumage est essentiellement vert, le front rouge et une marque rouge se trouve derrière l’œil, vers la zone auriculaire. Les rémiges sont bleues.
La femelle est légèrement plus petite que le mâle et son bec moins massif.
En captivité, le kakariki est sensible a un régime mal adapté, il pourra faire plusieurs mues, s'il ne trouve pas en quantité suffisante :
- de la verdure,
- du pissenlit,
- du cresson,
- des insectes
- quelques larves,
- des baies
- des fruits.
A l'état sauvage, il se nourrit aussi de fleurs et de nectar
Il faudra veiller aussi à lui placer dans la volière suffisamment d'eau car il a un besoin de se baigner.
Le kakariki a besoin d'un mètre cube au minimum par couple pour s'ébattre.
Huit sous-espèces sont répertoriées.
- Cyanoramphus novaezelandiae novaezelandiae espèce de référence décrite ci-dessus
présente en Nouvelle Zélande sur les îles Stewart et Auckland
- Cyanoramphus novaezelandiae cyanurus présente sur les îles Kermadec
le dessus de la tête et de la queue sont plus bleue, le dessous du ventre moins jaunâtre.
Son statut à l'état sauvage est critique
- Cyanoramphus novaezelandiae hochstetteri présente sur les îles des Antipodes
appelé aussi Perruche de Reischek par les Néo-Zélandais
Plus grand que l'espèce nominale, il a un plumage plus jaunâtre avec des taches frontales et sur le bas du dos d'un rouge moins soutenu tirant sur l'orangé.
- Cyanoramphus novaezelandiae erythrotis aujourd’hui éteinte
- Cyanoramphus novaezelandiae cooki selon certains auteurs à classer comme une espèce confinée sur l’île de Norfolk
- Cyanoramphus novaezelandiae subflavescens aujourd’hui éteinte
Il s'agissait d'une grande espèce (32cm) avec moins de rouge sur la tête et plus jaunâtre
- kakariki de Macquarie, éteinte
cette espèce pouvait mesurer 30 cm et était plus clair que l'espèce nominale
- Cyanoramphus novaezelandiae saisetti pour certains à classer comme espèce présente en Nouvelle Calédonie
Il est arboricole et vit dans les forêts ou dans les landes désolées dépourvue d’arbres où il a acquis (en l’absence de prédateur) des comportements terricoles.
Il mange des graines de l’herbe, des fruits et des baies.
La saison des amours varie en fonction du climat.
Cyanoramphus unicor (Lear)
Kakariki des Antipodes
Semblable à l’espèce précédente, mais dépourvu de marque de couleur, ce kakariki mesure environ 30cm de long et est endémique aux petites îles de l’archipel des Antipodes, au large de la côte de la Nouvelle Zélande.
Dans un environnement plutôt hostile qu’il partage avec le kakariki à front rouge, sans que ces espèces entrent en compétition.
Son régime dépend à 65% de la Poa litorosa, dont il dévore les feuilles, alors que le kakariki à front rouge préfère les petites graines des prés (60 % de son régime).
Il nidifie dans des tanières creusées dans la terre.
Cette espèce est vulnérable, un recensement datant de 1981 évaluait sa population entre 2000-3000 individus.
Elle pourrait disparaître en raison de l’introduction, voulue ou bien accidentelle d’animaux nuisibles, car son aire de répartition est en train de devenir une destination de pêche. Elle est rare en captivité.
Cyanoramphus auriceps (Kuhl)
Kakariki à front jaune
Il mesure 23cm de long et présente un plumage essentiellement vert nuancé de jaune sur les parties inférieures.
Son front est rouge sa couronne est jaune, son bec et ses pattes grises, son iris orange. Les jeunes ont une queue courte et un iris brun.
Deux sous-espèces sont répertoriées :
- Cyanoramphus auriceps auriceps, présente en Nouvelle Zélande et sur l’île d’Auckland,
- Cyanoramphus auriceps forbesi présente dans l’archipel de Chatham
Son statut est très menacé, un programme de sauvegarde a été mis en place
Son habitat est constitué d’épaisses forêts montagneuses, où il vit en couple ou en petits groupes.
Il est le plus arboricole des kakarikis et son alimentation ne dépend pas des herbes des prés. Son régime se compose de graines, de fruits, de baies.
Il nidifie normalement entre septembre et janvier dans le creux d’un arbre. La femelle pond jusqu’à 9 œufs qu’elle couve pendant 18/20 jours, les petits prennent leur envol environ 5 semaines après l’éclosion des œufs.
Il vit sur différentes île de la Nouvelle Zélande où, après une période de grand déclin il semble se reprendre.
Cyanoramphus malerbi (Souancé)
Kakariki de Malherbe
En tout point semblable au kakariki à front jaune et proche du kakariki à front rouge, cette espèce se distingue seulement par son front de couleur orange.
Elle mesure environ 20cm de long.
Attention il ne s'agit pas d'hybridation entre le front rouge et le front jaune, ce qu'il ne faut surtout pas faire.
Elle vit sur les iles de la Nouvelle Zélande.
Certains auteurs souhaiteraient la classer comme sous-espèce de Cyanoramphus novaezelandiae, avec lequel elle présente des similitudes du point de vue des habitudes et du comportement.
Deux espèces désormais éteintes et qui ressemblaient au kakariki à front jaune
- Cyanoramphus zaelandicus (Latham) ou kakariki à front noir qui vivait à Tahiti et sur les îles de la Société
- Cyanoramphus ulietanus (Gmelin) ou kakariki des Sociétés qui vivait sur les îles du même nom.
certaines espèces de kakarikis sont soumis a une autorisation de détention.
Pour les fronts rouges ils n'ont aucune plume jaune, totalement vert avec des reflets bleus.
En général, depuis l'interdiction d'exportation tous les kakarikis sont des sujets nés en captivité et ne nécessitent aucune autorisation, mais pour être certain, exigez le port d'une bague fermée.
Ceci vous garantira que l'oiseau est né en captivité.
L'alimentation du kakariki
Non seulement on lui donnera de la pâtée aux insectes pour les protéines.
On peut aussi leur donner des vers de farine et des œufs de fourmis une à deux fois par semaine surtout lors de la période de reproduction
Mais aussi des fruits secs lorsque les produits frais manquent.
Le kakariki n'est un granivore en totalité vu que dans la nature il mange du nectar, des insectes et des fleurs.
Nous allons prendre, en plus de l'alimentation un peu molle, les graines grandes perruches que nous trouvons facilement dans les boutiques spécialisées.
Cependant, on ne perdra pas de vue qu'un oiseau n'est pas un autre, et qu'une conure a des besoins différents du kakariki.
On va compléter nous même le mélange de graine, mais attention, pas n'importe comment.
Si l'alimentation n'est pas suffisamment équilibrée, l'oiseau sera en carence.
Le vol consomme beaucoup d'énergie, mais attention aux graines grasses qui vont alourdir l'oiseau.
L'oiseau avale la graine qui stationne dans le jabot, où elle est ramollie, puis passe dans le ventricule, l'estomac chimique de l'oiseau.
Ce ventricule va permettre grâce a ses sucs gastriques d'attaquer la graine avant de poursuivre son chemin vers le gésier.
Ce dernier va broyer les aliments durs, et pour ce faire, il est nécessaire d'avoir à la disposition de l'oiseau des petits graviers à disposition que l'oiseau va ingérer et permettre ainsi un meilleur broyage.
On note que le gésier d'un granivore est plus musclé que le gésier des espèces frugivores, ou nectarivores.
On va donc privilégier pour le kakariki une nourriture plus molle. Une nourriture composée exclusivement de graines va provoquer des troubles digestifs à plus ou moins long terme.
Mais revenons à notre graine, nous en étions au gésier, à la sortie de celui-ci, la graine partiellement broyée et digérée va passer dans l'intestin, auquel est dévolue l'assimilation des nutriments.
On comprendra combien il est important que cet organe doit être maintenu au meilleur de sa forme.
Et on sait que pour maintenir l'intestin, il est nécessaire d'avoir une flore microbienne qui peut être réduite lors d'un traitement antibiotique ou une diarrhée, c'est pour cette raison qu'il ne faut pas hésiter à la rétablir rapidement.
On peut donner du probi-zyme de chez Orlux, pour remettre cette flore.
Maintenant examinons le contenu de notre sac de graines.
En général il y a 4 principaux éléments :
- Alpiste : 30 à 45 %
- Millets blanc, jaune, roux : 40 à 50 %
- Tournesol : 0 et 20 %
- Gruau d'avoine : 5 à 15 %
Il est bien évident que cette nourriture ne sera pas adaptée au kakariki qui est dans un endroit chauffé et dans une cage, il faudra donc adapté le régime aux conditions de vie de l'oiseau.
On pourra aussi ajouter à ce mélange de graines, en faibles proportions, du niger, des graines de lin, du chènevis, de la navette et du riz paddy.
En ce qui concerne les extrudés, si l'oiseau est habitué, et si vous ne savez pas faire vos mélanges ou adapter le régime de votre oiseau, opter pour cette solution est préférable.
Les graines germées
Un bon apport en protéines, enzymes et vitamine E. Pas la peine que les germes soient grands, juste 2mm suffisent, sinon les graines perdent leurs qualités.
Ne pas laisser plus de deux à quatre heures pour éviter les moisissures, et rincer bien les graines germées avant de les donner aux oiseaux.
On peut aussi ne donner que les graines trempées pendant 24 heures, bien rincer également les graines avant de les donner.
Vous pouvez les donner tous les jours pendant la période de reproduction.
Fruits et Légumes tous les jours
De préférence le matin lorsque l'oiseau a faim
- La salade surtout les jeunes pousses du jardin, elle sera lavée et séchée avant de la donner
- le pissenlit tout est bon dans cette plante, les apports en vitamines et minéraux sont encore plus riches lorsqu'il s'agit de jeunes plantes.
Attention toutefois de ne pas les ramasser n'importe où. Surtout pas dans la rue ou en lisière de forêt.
- Endive (quelques feuilles)
- Carotte que l'on donnera râpée ou coupée en morceaux
- Pomme qui sera donné en morceaux épluché
- Figue
- Cerise sans noyau
- Quelques feuilles de chou
- Pois
- Céleri
- Piments doux
- Maïs doux
- Concombre (quelques morceaux)
- Citrouille (quelques morceaux)
- Poire
- Raisin (peu)
- Abricot
- Banane
- Baies (mûre, sorbier, myrtille, framboise etc...)
- Pyracanthe
- Plantain
- Orties
- Séneçon
Pour leur plus grand plaisir, vous pouvez faire pousser des graines de votre sac dans une petite soucoupe trouée, pas trop haute, et leur donner.
- les branches avec des bourgeons
Et comme les kakarikis ne sont pas réputés pour leur propreté en mangeant, n'oublier pas de leur fournir une baignoire dans laquelle ils pourront se laver après le repas.
C'est surtout valable lorsque vous donnez des fruits.
Les compléments minéraux et vitaminés
Le fond de cage sera composé de gravier marin, et l'on disposera dans
- Un auget ou une petite soucoupe, du gravier et de l'argile.
Le kakariki a besoin de calcium, magnésium et potassium, sans oublier les phosphates
- Un os de seiche à disposition
- Un bloc minéral
- Un bloc d'iode
Les pâtées
On pourra alterner les pâtées,
- Pâtée aux insectes
- Pâtée pour frugivores (pour mainate)
- Pâtée gold ou guiko (surtout en période de reproduction)
Les petits plus
Bien évidemment sans abuser (en petite quantité)
- Des grappes de millets
- Les herbes séchées
- Les fruits secs
- Les graines sauvages
- Les biscuits
- Les oeufs dur
- La spiruline
- Le nectar (attention car le kakariki a tendance à "trop" aimer cela et délaisse les autres aliments)
#39
Posté 28 juin 2015 - 12:22
os de sèche un peu partout en grande surface et magasin spécialisés
tu peu en récupérer au bord de la mer mais les laver avec 3 eau et laisser sécher
idem pour les bloc minérale ou cite pour oiseau internet
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